La véritable histoire de DAILY DRESS
Clarification des accusations et mise au point sur la collaboration
Je me permets d’écrire ce rapport afin de rétablir la vérité concernant les accusations publiques portées à mon encontre par Umm Souleymene.
SOMMAIRE
1 - Accusations lié au compte Instagram DAILY DRESS
2 - Accusations sur le plan financier
3 - Accusation de vol et de vendre une marchandise volée
4 - Multiples tentatives pour me nuire
1 - Accusations lié au compte Instagram DAILY DRESS
Tout d’abord, il est important de rappeler que le compte Instagram @dailydresswear était un compte commun, géré conjointement par Umm Souleymene et moi-même. Dès le début, toutes les décisions ont été prises en concertation.
Cependant, au fil du temps, Umm Souleymene a manifesté une volonté d’accaparer la gestion du compte et de la marque à son seul bénéfice. Plusieurs faits illustrent cette intention :
• Elle a cherché à s’attribuer seule le mérite du travail réalisé en collaboration.
• Elle a unilatéralement changé le mot de passe du compte sous prétexte d’une grève de sa part.
• Elle a publiquement accusé de vol une action qui relevait d’un simple ajustement technique.
En ce qui concerne le changement d’adresse e-mail, il s’agissait uniquement d’une mise à jour vers une adresse officielle, dans le respect de la gestion du compte commun. À aucun moment il n’a été question de vol ou d’appropriation illégitime.
Et je tiens à clarifier davantage la situation concernant le compte Instagram :
Ma collaboratrice a changé le mot de passe du compte sans m’en informer, prétextant une grève de sa part. Durant cette période, elle a supprimé de nombreuses publications, fruit de mon travail et de longues heures de montage. Ce n’est que cinq jours plus tard qu’elle m’a finalement communiqué le nouveau mot de passe.
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Durant cette période où je n'avais plus d'accès au compte de notre marque, j’ai constaté que l’adresse e-mail associée au compte n’était pas celle officielle de la marque, mais une adresse à laquelle elle seule avait accès, ce qui n’avait jamais été convenu pour un compte commun.
Une fois qu’Umm Souleymene m’a rendu le mot de passe, j’ai effectué plusieurs modifications sur le compte Instagram dans un but commun et juste, afin d’assurer une gestion transparente et sécurisée. J’ai remplacé l’adresse e-mail associée par l’adresse officielle de la marque, dailydresswear@gmail.com, qui était notre adresse commune. Auparavant, l’adresse enregistrée était dailydressmodestwear@gmail.com, une adresse qu’elle avait créée de son côté sans m’en informer.
J’ai également ajouté mon numéro de téléphone au compte afin d’activer l’authentification à deux facteurs, un système de sécurité permettant de protéger l’accès en exigeant un code de validation envoyé par SMS lors de chaque connexion. Ces modifications avaient pour objectif d’assurer une gestion équitable du compte et d’empêcher qu’elle puisse à l’avenir me couper l’accès de manière unilatérale.
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Dès que ce changement a été effectué, elle m’a publiquement accusé de vol et d’appropriation illégitime, alors même que je l’informais qu’elle avait toujours accès au compte et que seul l’e-mail avait été modifié.
Aujourd’hui, ni elle ni moi n’avons accès au compte. Mon objectif était simplement d’assurer un accès équitable et sécurisé au compte Instagram afin d’éviter toute nouvelle prise de contrôle unilatérale.
Les accusations portées publiquement par Umm Souleymene relèvent donc de la calomnie et du dénigrement injustifié, dans le but de nuire à mon image et à ma réputation professionnelle. Je me réserve le droit de prendre les mesures nécessaires pour protéger mes intérêts et faire valoir mes droits.
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2 - Accusations sur le plan financier
Suite aux déclarations publiques de Umm Souleymene, je tiens à apporter des précisions essentielles pour rétablir la vérité.
1 - Clarification sur les déclarations trompeuses concernant les revenus de la marque
Je tiens à clarifier une information concernant la gestion financière de Daily Dress et notre accord de co-fondation.
Dès le départ, nous avions convenu que les bénéfices de la marque seraient systématiquement réinvestis afin d’assurer sa croissance. Ayant personnellement investi pour le développement de la marque, couvrant l’achat des matières premières, ainsi que les frais des prestataires de couture et d’envoi.
Il était entendu que tant que l’intégralité des fonds investis ne serait pas remboursés, nous ne percevrions aucun salaire ou bénéfice personnel.
C’est dans ce contexte que ma collaboratrice affirme ne jamais avoir gagné un euro : non pas parce que la marque ne génère aucun revenu, ni parce que j’aurais cherché à m’approprier tous les bénéfices ou à la léser, mais parce que nous avions ensemble choisi de privilégier son expansion avant toute rétribution personnelle.
Voici l'exemple de la façon dont la comptabilité était gérée comme convenu :
- Au départ, l’entreprise était en phase d’investissement. Comme dans toute activité, il fallait d’abord couvrir les coûts de production, les frais liés aux services (couture, envoi, préparatrice de commande, plateformes de paiement) et surtout rembourser l’investissement initial qui a permis de lancer le projet.
- L’objectif était d’assurer la rentabilité à long terme. La première année servait à rembourser les sommes engagées pour créer et structurer l’activité. Une fois cet investissement couvert, la deuxième année aurait été celle du bénéfice net, avec des revenus réellement profitables.
- Umm Souleymene a voulu faire croire qu’elle n’avait rien gagné, ignorant ainsi ses engagements financiers. Elle a passé sous silence le fait que l’entreprise devait d’abord stabiliser ses finances et rembourser ses investissements de départ avant de générer un vrai profit. Avec une vision à long terme, elle aurait compris que tout allait devenir bénéfice dès la deuxième année. Malheureusement, elle a préféré partir avant d’en voir les fruits, laissant toute la responsabilité aux autres.
- En quittant brutalement la collaboration, elle a laissé derrière elle des responsabilités non assumées :
• Des stocks à écouler seule
• Des factures impayées
• Des engagements financiers en cours
3 - Sa communication publique vise uniquement à ternir notre image, alors qu’elle a elle-même refusé toute formalisation écrite de la collaboration.
Malgré nos demandes répétées, elle a refusé de signer un contrat, ce qui aurait permis d’éviter toute ambiguïté et d’établir clairement les engagements de chacun.
Ces accusations sont non seulement infondées, mais elles démontrent une volonté manifeste de nuire à notre réputation. Nous continuerons à gérer cette situation avec transparence et à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger notre travail et notre intégrité.
3 - Accusation de vol et de vendre une marchandise volée
Ma collaboratrice m’a publiquement accusée de vendre de la marchandise volée, en citant des avis religieux comme celui-ci : « Louange à Allah. Il n’est permis ni d’acheter des marchandises volées ni d’aider à leur écoulement ni de les recevoir comme cadeaux ou dons… »
Pourtant, cette fatwa n’a absolument aucun lien avec notre situation. Elle a elle-même pris la décision d’arrêter notre collaboration, me laissant seule gérer les stocks que nous avions, sans jamais avoir dépensé un seul euro pour l’achat de cette marchandise. C’est moi qui ai avancé la totalité des frais. Comment aurais-je pu lui « voler » quelque chose qu’elle n’a pas financé ? Dans un souci d’équité, et ne souhaitant pas continuer à faire vivre la marque DAILY DRESS que nous avions construite ensemble, j’ai pris la décision de liquider les stocks restants.
Il ne s’agit pas d’un acte malhonnête, mais d’une manière responsable de clore un projet commun, dont je me retrouve aujourd’hui à assumer seule les charges et les responsabilités financières.
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4 - Multiples tentatives pour me nuire
Depuis la rupture de notre collaboration, Umm Souleymene a entrepris plusieurs actions sur les réseaux sociaux dans le but manifeste de nuire à mon activité. Voici quelques exemples concrets de ce qu’elle a mis en place :
• Elle a tenté de mobiliser sa communauté pour signaler massivement mon compte Instagram, dans l’espoir que je perde l’accès à mes réseaux sociaux et que je sois contrainte d’arrêter mon commerce.
• Elle a également incité ses abonnés à signaler mon site internet, dans le but de le faire suspendre et m’empêcher de continuer à commercialiser mes articles.
• Elle m’a accusée publiquement de vendre de la marchandise volée, appelant ainsi au boycott de ma boutique auprès de ses abonnés, en s’appuyant sur des arguments totalement hors contexte.
• Elle a cherché à relancer une ancienne histoire datant de 2022 impliquant une autre associée, une affaire pourtant réglée légalement par la mise en place d’un contrat accepté et signé par cette dernière, qui souhaitait elle-même se retirer du projet. Une situation complètement différente de celle d’Umm Souleymene, qu’elle a tenté d’utiliser pour manipuler l’opinion et légitimer ses propres accusations, tout en omettant volontairement des éléments essentiels.
• Enfin, elle est allée jusqu’à envisager et discuter publiquement sur ses réseaux d’une action judiciaire à mon encontre en Égypte, dans le but manifeste de me faire incarcérer. Elle a abordé ce sujet de manière banalisée, comme si cela était légitime et normal, montrant clairement qu’elle souhaite réellement me nuire, même sur le plan personnel et judiciaire.