La véritable histoire de DAILY DRESS
Clarification des accusations et mise au point sur la collaboration
Je me permets d’écrire ce rapport afin de rétablir la vérité concernant les accusations publiques portées à mon encontre par Leila, ma collaboratrice autour de la marque DAILY DRESS.
Temps de lecture : 10min
SOMMAIRE
1 - Accusations lié au compte Instagram DAILY DRESS
2 - Accusations sur le plan financier
3 - Accusation de vol de propriété intellectuelle et de vendre une marchandise volée
4 - Multiples tentatives pour me nuire
5 - Son but ultime & conclusion
1 - Accusations lié au compte Instagram DAILY DRESS
Tout d’abord, il est important de rappeler que le compte Instagram @dailydresswear était un compte commun, géré conjointement par Leila et moi-même. Dès le début, toutes les décisions ont été prises en concertation.
Cependant, au fil du temps, Leila a manifesté une volonté d’accaparer la gestion du compte et de la marque. Plusieurs faits illustrent cette intention :
• Elle s’attribuait seule le mérite du travail réalisé en collaboration.
• Elle a unilatéralement changé le mot de passe du compte sous prétexte d’une grève de sa part.
• Elle a publiquement accusé de vol une action de ma part qui relevait d’un simple ajustement technique.
Je tiens à clarifier davantage la situation concernant le compte Instagram :
Ma collaboratrice a changé le mot de passe du compte sans m’en informer, prétextant une grève de sa part. Durant cette période, elle a supprimé de nombreuses publications, fruit de mon travail et de longues heures de montage. Ce n’est que cinq jours plus tard qu’elle m’a finalement communiqué le nouveau mot de passe suite à mes demandes répétées.
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Durant cette période où je n'avais plus d'accès au compte de notre marque, j’ai constaté que l’adresse e-mail associée au compte n’était pas celle officielle de la marque, mais une adresse à laquelle elle seule avait accès, qu'elle avait créer de son côté sans m'en faire part, ce qui n’avait jamais été convenu pour un compte commun.
Une fois que Leila m’a renvoyé le nouveau mot de passe qu'elle avait créer, j’ai effectué plusieurs modifications sur le compte Instagram dans un but commun et juste, afin d’assurer une gestion équitable et afin qu'une telle situation ne se reproduise plus à l'avenir. J’ai remplacé l’adresse e-mail qu'elle avait associée (dailydressmodestwear@gmail.com une adresse qu’elle avait créée de son côté sans m’en informer) par l’adresse officielle de la marque, dailydresswear@gmail.com, qui était notre adresse e-mail commune.
J’ai également ajouté mon numéro de téléphone au compte afin d’activer l’authentification à deux facteurs, un système de sécurité permettant de protéger l’accès au compte en exigeant un code de validation envoyé par SMS lors de chaque connexion. Ces modifications avaient pour objectif d’assurer une gestion équitable du compte et d’empêcher qu’elle puisse de nouveau à l’avenir me couper l’accès de manière unilatérale.
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Dès que ce changement a été effectué, elle m’a publiquement accusé de vol et d’appropriation illégitime du compte Instagram, alors même que je l’informais au même moment via WhatsApp qu’elle avait toujours accès au compte et que j'avais seulement mis à jour l'adresse e-mail.
Aujourd’hui, ni elle ni moi n’avons réellement accès au compte Instagram. Concrètement, la situation actuelle est bloquée : lorsqu’elle tente de se connecter, c’est moi qui reçois un code par SMS, car mon numéro de téléphone est lié au compte. Inversement, lorsque j’essaie de me connecter, c’est elle qui reçoit un code par e-mail, son adresse étant également rattachée au compte (étant donné qu'elle n'a pas validé le changement d'adresse e-mail que j'avais effectué, c'est son adresse e-mail à laquelle elle seule avait accès qui reste rattaché au compte). En d’autres termes, aucune de nous deux ne peut y accéder seul. L’accès ne serait possible que si l’une de nous deux envoyait volontairement le code à l’autre, ce qui démontre bien que la sécurité du compte repose sur une forme de coopération mutuelle, et non sur une volonté d’exclusion.
Les accusations portées publiquement par Leila relèvent donc de la calomnie et du dénigrement injustifié, dans le but de nuire à mon image et à ma réputation professionnelle. Je me réserve le droit de prendre les mesures nécessaires pour protéger mes intérêts et faire valoir mes droits.
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2 - Accusations sur le plan financier
Suite aux déclarations publiques de Leila, je tiens à apporter des précisions essentielles pour rétablir la vérité.
1 - Clarification sur les déclarations trompeuses concernant les revenus de la marque
Je tiens à clarifier une information concernant la gestion financière de Daily Dress et notre accord de co-fondation.
Dès le départ, nous avions convenu que les bénéfices de la marque seraient systématiquement réinvestis afin d’assurer sa croissance. Ayant personnellement investi pour le développement de la marque, couvrant l’achat des matières premières, ainsi que les frais des prestataires de couture et d’envoi.
Il était entendu que tant que l’intégralité des fonds investis ne serait pas remboursés, nous ne percevrions aucun salaire ou bénéfice personnel.
C’est dans ce contexte que ma collaboratrice affirme ne jamais avoir gagné un euro : non pas parce que la marque ne génère aucun revenu, ni parce que j’aurais cherché à m’approprier tous les bénéfices ou à la léser, mais parce que nous avions ensemble choisi de privilégier son expansion, à travers le développement de nouveaux modèles, l'achat de nouveaux tissus afin d'augmenter nos capacités de production avant d'obtenir toute rétribution personnelle.
Voici l'exemple de la façon dont la comptabilité était gérée comme convenu :
- Au départ, l’entreprise était en phase d’investissement. Comme dans toute activité, il fallait d’abord couvrir les coûts de production, les frais liés aux services (couture, envoi, préparatrice de commande, plateformes de paiement) et surtout rembourser l’investissement initial qui a permis de lancer le projet.
- L’objectif était d’assurer la rentabilité à long terme. La première année servait à rembourser les sommes engagées pour créer et structurer l’activité. Une fois cet investissement couvert, la deuxième année aurait été celle du bénéfice net, avec des revenus réellement profitables.
- Leila a voulu faire croire qu’elle n’avait rien gagné, ignorant ainsi ses engagements financiers. Elle a passé sous silence le fait que l’entreprise devait d’abord stabiliser ses finances, continuer de régler ses charges / taxes mensuelles et rembourser ses investissements de départ avant de générer un vrai profit. Avec une vision à long terme, elle aurait compris que tout allait devenir bénéfice dès la deuxième année. Malheureusement, elle a préféré partir avant d’en voir les fruits, laissant toute la responsabilité aux autres.
- En quittant brutalement la collaboration, elle m'a laissé derrière elle avec des responsabilités non assumées :
• Des stocks à écouler seule
• Des factures à régler
• Des engagements financiers en cours
3 - Sa communication publique vise uniquement à ternir mon image, alors qu’elle a elle-même refusé toute formalisation écrite de la collaboration.
Malgré mes demandes répétées, elle a refusé d'établir un contrat, ce qui aurait permis d’éviter toute ambiguïté et d’établir clairement les engagements de chacun.
Les accusations qu'elle à porter mon encontre de manière publique sont non seulement infondées, mais elles démontrent une volonté manifeste de nuire à ma réputation.
Sur ses réseaux sociaux, Leila a affirmé m’avoir recontactée dans l’intention de trouver un arrangement, notamment sur le plan financier, en lien avec le travail qu’elle a fourni. Pourtant, cela est totalement faux.
Le message qu’elle m’a adressé n’avait rien de constructif : il était rempli d’insultes, de reproches et de critiques, sans aucune volonté réelle de dialogue ni de recherche de solution. Face à cette attitude agressive et émotionnelle, j’ai pris la décision de la bloquer, non pas par mépris, mais pour préserver un cadre sain.
J’ai également exprimé le souhait que nous puissions chacune faire intervenir un intermédiaire de nos côtés respectifs, afin qu’ils puissent arbitrer la situation de manière juste, équilibrée et sans que les émotions ne prennent le dessus sur le respect.
4 - Commercialisation non autorisée de produits en dehors de notre boutique en ligne.
Leila a récemment affirmé sur ses réseaux sociaux qu’elle n’avait “pas touché un seul euro” de notre entreprise commune. Cette déclaration, bien que techniquement formulée de manière à paraître exacte, omet volontairement des éléments essentiels.
Durant notre collaboration, Leila a reçu l’ensemble des pièces de la marque, dans tous les coloris disponibles – soit plus de 150 articles, représentant une valeur estimée à plus de 4 000 € en coûts de production. Ces pièces lui ont été fournies dans le cadre de notre partenariat, avec un engagement clair : les porter et les promouvoir sur ses réseaux sociaux afin de contribuer à la visibilité et au développement de la marque.
Or, cet engagement n’a été respecté que de manière très partielle. Elle a revendu sur sa boutique Vinted personnelle, au même prix que celui pratiqué sur notre site officiel – et ce, sans aucun accord préalable, ni partage des bénéfices. Elle a ainsi conservé l’intégralité des gains issus de ces ventes, estimés entre 8 000 et 10 000 €.
Cette démarche constitue une rupture manifeste de la confiance établie dans notre partenariat. En revendant dans mon dos des articles destinés à la promotion de notre marque et en s’appropriant l’intégralité des bénéfices, Leila a agi de manière malhonnête.
Il est donc profondément inexact et trompeur de laisser entendre qu’elle n’a “rien perçu”.
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3 - Accusation de vol et de vendre une marchandise volée
Ma collaboratrice m’a publiquement accusée de vendre de la marchandise volée, en citant des avis religieux comme celui-ci : « Louange à Allah. Il n’est permis ni d’acheter des marchandises volées ni d’aider à leur écoulement ni de les recevoir comme cadeaux ou dons… »
Pourtant, cette fatwa n’a absolument aucun lien avec notre situation. Elle a elle-même pris la décision d’arrêter notre collaboration, me laissant seule gérer les stocks que nous avions, sans jamais avoir dépensé un seul euro pour l’achat de cette marchandise. C’est moi qui ai avancé la totalité des frais. Comment aurais-je pu lui « voler » quelque chose qu’elle n’a pas financé ? Dans un souci d’équité, et ne souhaitant pas continuer à faire vivre la marque DAILY DRESS que nous avions construite ensemble, j’ai pris la décision de liquider les stocks restants.
Il s’agit selon moi d’une manière responsable de clore un projet commun, dont je me retrouve aujourd’hui à assumer seule les charges et les responsabilités.
Cliquez ici pour voir les preuves (article 1.4)
Leila m’a également accusée de vol de propriété intellectuelle, affirmant qu’elle était l’unique créatrice des modèles et qu’elle seule les avait imaginés. Ces accusations sont non seulement infondées, mais également irrespectueuses envers le travail fourni tout au long de notre collaboration. La réalité, c’est qu’il s’est toujours agi d’un travail commun. J’ai constamment été celle qui transmettait les mesures précises, les ajustements à faire et les modifications finales à mon patroniste.
La création des pièces a toujours été un processus partagé, et non unilatéral. Pour concevoir des vêtements, il faut être sur place, les voir, les toucher, les ajuster et c’est un travail que j’ai toujours assuré seule, puisqu’elle n’était pas physiquement présente pour participer à ces étapes. En plus de cet investissement personnel, j’ai également comme je l'ai dit plus haut investi financièrement dans cette entreprise : j’assumais les coûts, les matières premières, les productions. Mon engagement ne se limitait donc pas à la gestion ou à la coordination, mais s’étendait aussi au financement et au développement du projet. Ces accusations de vol de propriété intellectuelle sont donc totalement injustifiées, car elles effacent la réalité d’un travail collaboratif dans lequel j’étais pleinement investie, à tous les niveaux.
Dans le cas où Leila se permet de réutiliser les modèles créés durant notre collaboration au sein de sa nouvelle entreprise, en les modifiant à sa convenance tout en s’appropriant leur conception, je me réserve également ce droit. Ces pièces ont été le fruit d’un travail commun, à la fois sur le plan créatif, technique et financier. Il n’est donc pas acceptable qu’elle s’octroie seule la légitimité d’en exploiter les designs, comme si elle en était l’unique autrice. Si elle choisit de poursuivre l’utilisation de ces modèles en les retravaillant à son image, je me donne la même liberté, en toute légitimité, de faire évoluer et réutiliser ces créations dans mes propres projets.
4 - Multiples tentatives pour me nuire
Depuis la rupture de notre collaboration, Leila a entrepris plusieurs actions sur les réseaux sociaux dans le but manifeste de nuire à mon activité. Voici quelques exemples concrets de ce qu’elle a mis en place :
• Elle a tenté de mobiliser sa communauté pour signaler massivement mon compte Instagram pour "fraude", dans l’espoir que je perde l’accès à mes réseaux sociaux et que je sois contrainte d’arrêter mon commerce. il ne s'agissait pas du compte commun DAILY DRESS qu'elle a demandé de signaler à ses abonnés, mais bien mon compte professionnel OUMMI MUSLIM sur lequel je travaille depuis quatre ans.
• Elle a également incité ses abonnés à signaler mon site internet via le lien d'un formulaire google qu'elle a partagé, dans le but de le faire suspendre et m’empêcher de continuer à commercialiser mes articles.
• Elle m’a accusée publiquement de vendre de la marchandise volée, appelant ainsi au boycott de ma boutique auprès de ses abonnés, en s’appuyant sur des arguments religieux totalement hors contexte.
• Elle a cherché à relancer une ancienne histoire datant de 2022 impliquant une autre associée, une affaire pourtant réglée légalement par la mise en place d’un contrat accepté et signé par cette dernière, qui souhaitait elle-même se retirer du projet. Une situation complètement différente de celle de Leila, qu’elle a tenté d’utiliser pour manipuler l’opinion et légitimer ses propres accusations, tout en omettant volontairement des éléments essentiels.
• Elle est allée jusqu’à envisager et discuter publiquement sur ses réseaux d’une action judiciaire à mon encontre en Égypte, dans le but manifeste de me faire incarcérer. Elle a abordé ce sujet de manière banalisée, comme si cela était légitime et normal, montrant clairement qu’elle souhaite réellement me nuire, même sur le plan personnel et judiciaire.
• Leila a rédigé à travers ses publications Instagram plusieurs chapitres à mon sujet et en racontant, à sa manière, notre collaboration autour de la marque. Toutefois, elle a omis de nombreux détails essentiels, déformant ainsi la réalité. Pire encore, ses écrits contiennent des propos mensongers, de la calomnie et beaucoup de médisance à mon égard. Ces chapitres n’ont pas été créés dans une démarche sincère de recherche de solution ou de justice ; ils avaient pour but principal de divertir son audience, en allant jusqu’à donner des titres à chacun d’eux, au lieu de faire preuve d’honnêteté dans ses récits. Ce qu’elle a fait, ainsi que les propos qu’elle a tenus, sont extrêmement graves et j'espère qu'elle s'en rendra compte un jour en revenant à la raison.
• Dès le moment où Leila a commencé à m’accuser publiquement, sur ses réseaux sociaux, de lui avoir “volé” le compte Instagram de notre marque, elle a aussitôt incité ses abonnés à demander le remboursement de leurs commandes, y compris celles déjà expédiées ou en cours de traitement. Cette démarche a été lancée de manière impulsive et sans fondement.
5 - Son but ultime & conclusion
Depuis le début de notre collaboration, il est aujourd’hui évident que Leila avait un objectif bien précis en tête : créer sa propre marque. Bien qu’elle ait affirmé vouloir construire un projet commun au départ, ses véritables intentions se sont peu à peu dévoilées avec le temps.
Ne disposant ni des compétences, ni des fonds nécessaires, ni de la certitude que cela fonctionnerait, elle s’est d’abord appuyée sur notre travail pour se lancer. Tout au long de cette collaboration, elle s’est montrée extrêmement critique, focalisée sur les moindres défauts, remettant sans cesse en question la qualité de mon travail ainsi que celui de mon équipe, sans jamais reconnaître nos efforts ni apporter de contribution constructive.
Je suis quelqu’un qui accepte la critique lorsqu’elle est formulée de manière constructive, avec bienveillance et dans l’intention d’aider à progresser. Je considère même que la remise en question est essentielle pour avancer et s’améliorer. Cependant, lorsqu’une critique est faite uniquement dans le but de dénigrer, d’humilier ou de rabaisser, comme cela a été souvent le cas de la part de Leila, cela devient difficile à supporter sur le plan mental. Ce n’était plus un échange sain, mais une accumulation de remarques, sans volonté réelle d’apporter du positif ou de faire évoluer les choses.
En réalité, elle savait depuis longtemps qu’elle pouvait compter sur une amie proche, dont le commerce est la création de sites Internet, et attendait le bon moment pour me mettre à l’écart. La situation a pris une tournure révélatrice lorsque j’ai activé la double authentification sur le compte Instagram : se sentant dépossédée de ce qu’elle croyait pouvoir contrôler, elle a immédiatement publié une story m’accusant de vol de compte, sans même m’en parler au préalable. Ce geste précipité a clairement montré qu’elle avait autre chose en tête avec ce compte Instagram qu'une gestion commune équitable.
Ce soupçon s’est confirmé lorsqu’elle a écrit dans un de ses récits sur Instagram : « Il est clair qu’il allait falloir que je trouve un moyen de quitter cet atelier ». Elle ne cherchait donc pas à faire évoluer la collaboration, mais bien à la quitter, sans savoir comment le faire sans entacher son image — mais elle était en revanche tout à fait prête à entacher la mienne, consciente que cela ferait parler sur les réseaux sociaux et générerait de la visibilité pour sa future marque.
C’est d’ailleurs pour cela qu’elle a continué à en parler, et qu’elle continue encore aujourd’hui, deux mois plus tard, à entretenir ce récit pour nourrir l’attention autour d’elle. À cela s’ajoutent des propos dénigrants qu’elle a tenus à mon égard devant ma petite sœur qui l’avait accompagné pour la prendre en photo à Paris, et même devant ma mère, lors de sa première visite chez nous, une attitude que j’ai trouver déplacée et révélatrice de son absence totale de respect et de considération dès le départ.
Tout au long de notre collaboration, j’ai à plusieurs reprises proposé que nous établissions un contrat écrit afin de formaliser les rôles, les responsabilités et les engagements de chacune. Malgré mes demandes répétées, Leila a toujours refusé ou évité de concrétiser cette démarche. Ce refus persistant de poser un cadre à notre collaboration soulève de sérieuses interrogations et laisse penser qu’elle avait, dès le départ, une intention bien précise : garder une certaine liberté d’action et se déresponsabiliser en cas de conflit.
Conclusion
J’ai rédigé ce dossier non pas dans le but de nuire à Leila, mais dans celui de rétablir ma vérité face aux accusations infondées et aux nombreuses calomnies qu’elle a formulées à mon encontre, ainsi qu’à l’encontre de mon entreprise, au cours des dernières semaines. J’ai pris soin de rester aussi factuelle et objective que possible, en m’en tenant aux faits concrets et vérifiables.
Mon intention n’est pas d’alimenter le conflit, mais de permettre à chacun de mieux comprendre la situation dans son ensemble. Au-delà de ses calomnies, Leila a également tenté de manipuler l’opinion publique en influençant ses abonnés pour me faire passer pour la personne qui lui causait du tort. Pourtant, c’est elle qui a pris la décision d’arrêter la collaboration et de rendre ce conflit public. De mon côté, les rares réponses que j’ai apportées publiquement ont toujours été très concises, car je ne souhaitais pas alimenter les débats ni entrer dans un échange conflictuel. Toutefois, compte tenu de la gravité des accusations portées contre moi, il me semblait essentiel de remettre les choses dans leur contexte. Beaucoup ont pris position sans jamais chercher à entendre ma version des faits, parfois de manière virulente ou injuste. J’ai fait le choix de bloquer ces personnes, non par rancune, mais parce qu’il me semblait essentiel de poser une limite face à une attitude qui manquait d’équité et de respect.
À ces sœurs qui ont pris parti sans même chercher à entendre ma version des faits, j’aimerais dire ceci : ne croyez pas tout ce que vous voyez sur les réseaux sociaux. Ce n’est pas parce qu’un message est largement partagé, ou qu’une personne a un grand nombre d’abonnés, que cela signifie automatiquement qu’elle dit la vérité. Aujourd’hui, je prends la parole parce que je suis directement concerné par ces accusations. Mais si j’avais été à votre place, en tant que simple spectateur sur les réseaux, je me serais abstenue de m’en mêler, car je n’aurais pas connu toute l’histoire.
J’ai trouvé cela très déplacé que certaines personnes réagissent publiquement, voire repartagent des propos, sans être certaines de leur véracité. D’autant plus que nous sommes musulmans, et que si l’on prend le temps de se renseigner, notre religion nous enseigne clairement l’importance de vérifier les informations avant de les relayer, et met en garde contre l’injustice et la calomnie.
Aujourd’hui, je prends enfin la parole, et je laisse chacun libre de se faire son propre avis.
Noura, OUMMI MUSLIM